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CGRSM 76 : mise en ligne gratuite des actes E.C. anciens

Souvent des polémiques naissent entre généalogistes au sujet de l'accès payant aux relevés effectués par les diverses associations de généalogie.
Il est en existe une qu'il faut remercier chaleureusement, il s'agit du CGRSM 

Le cercle de généalogie de  Rouen Seine Maritime informe sur son site que:   

La base de relevés d'actes d'état civil ancien est désormais accessible à tous publics et gratuitement.

- 250.000 mariages

- 25.000 baptêmes ou naissances 

- 20.000 sépultures ou décès 
sont à disposition.  

De nombreuses communes sont concernées. La consultations des relevés est facile.

 Base du CGRSM 76

AD49 archives en ligne jusqu'en 1902

 Les AD49 avaient déjà mis en ligne mi-avril 2008:

 

 

•  Registres paroissiaux, état civil jusqu'à 1886 (variable 1880-1886), tables décennales jusqu'à 1902,
•  Plans du Cadastre napoléonien
•  Cartes postales
•  Plans d'architecture (XIXème)
•   Presse : "les Affiches d'Angers" et "Le Petit Courrier"

Il semble maintenant que les Archives Départementales du Maine & Loire devraient permettre une recherche élargie.
Les AD49 mettraient en ligne les registres d'état civil jusqu'en 1902 à compter du lundi 16 Février 2009. Ces documents étaient numérisés et visibles en salle de lecture, mais bloqués suite aux recommandations de la CNIL.
Cette mise en ligne rétablirait l'égalité d'accès entre les lecteurs sur place et les généanautes.

En principe des  projets de numérisation d'autres collections seraient envisagés

AD49 archives en ligne

 

Archives Nationales de l'Outre Mer : registres d'Algérie en ligne

Le Centre des  Archives de l'Outre Mer à Aix-en-Provence a mis en ligne les registres d'Algérie de 1830 à 1904 et communique :

"L’état civil conservé aux Archives nationales d’outre-mer comprend les registres paroissiaux (antérieurs à 1792), les registres d’état civil et les tables décennales des territoires ayant fait partie de l’empire colonial français depuis le XVIIe siècle :

Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion, Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Saint-Pierre-et-Miquelon, Ile Royale et Ile Saint-Jean (Canada), Sainte-Lucie, Louisiane, Saint-Domingue (Haïti), Etablissements français des Indes, Madagascar et dépendances, Côte d’Ivoire, Congo, Dahomey (Bénin), Gabon, Guinée, Sénégal, Soudan français (Mali), Cambodge, Laos, Tonkin, Annam et Cochinchine (Vietnam).

Par application de l’édit royal de juin 1776 qui créa le Dépôt des papiers publics des colonies (DPPC), les registres devaient être établis en trois exemplaires. C’est le troisième exemplaire que conservent les Archives nationales d’outre-mer. Les premier et deuxième exemplaires sont détenus par les Archives nationales des pays devenus indépendants, et, pour les départements et collectivités territoriales d’outre-mer, par les services territoriaux d’archives compétents et par les mairies.

L’Algérie, divisée en départements (Alger, Constantine, Oran et Territoires du sud), suivait la règle métropolitaine : les registres n’ont été dressés qu’en deux exemplaires. Ces deux exemplaires sont conservés en Algérie. Les Archives nationales d’outre-mer ne possèdent qu’une copie numérique incomplète.

Depuis 2003, les Archives nationales d’outre-mer ont lancé plusieurs campagnes de numérisation. Les registres numérisés (Algérie et autres territoires) seront mis en ligne au fur et à mesure de l’avancement des opérations.

L’état civil conservé aux Archives nationales d’outre-mer est souvent lacunaire. Pour connaître l’état de l’existant pour un territoire donné, il faut consulter le Répertoire général " 

Pour consulter les registres d'Algérie (ne pas mettre d'accent dans le formulaire de recherche :

Tables et registres

info signalée par Lydie Buchère

 

Base des registres des 111 394 militaires de l'hôtel des Invalides

  Au frontispice du portail central de l'Hôtel des Invalides figure cette inscription:

Ludovicus Magnus
militibus regali munificentia
in perpetuum providens
has aedes posuit
an MDCLXXV

(Louis le Grand, par manificence royale pour ses soldats et prévoyant pour la suite des temps, a fondé cet édifice en l'an 1675) 

"...l'Hôtel des Invalides, loin d'être un dépotoir pour vieux soldats inutilisables, propose au contraire à l'Europe le modèle de l'ordre social nouveau. Dans la ligne de pensée qui a présidé à la construction des Quinze-Vingts et à celle de Bicêtre, mais maintenant à l'échelon national, il apporte un remède efficace aux conséquences néfastes et cruelles des <<misères de la guerre>> que Callot illustrait avec vigueur. Tout en conservant les caractères généraux des fondations hospitalières du Moyen-Âge chrétien, il consacre aux soins du corps, dans le style de Monsieur Vincent [de Paul], une place plus grande et confère à la médecine, à l'apothicairerie et à la chirurgie un élan nouveau." (Les Invalides trois siècles d'histoire)"   

"Cette base, en accès libre, gérée par une association de bénévoles, est destinée à tout public, étudiants, historiens,
généalogistes, débutants ou confirmés, intéressés par l’histoire des familles et par l’histoire locale.
Cette source d'information est très appréciable, complémentaire des registres paroissiaux,
concerne actuellement 61% des communes de France.

 

Transcription des registres de réception de 111.394 militaires – de tous grades - ayant participé à des guerres, nés en France ou à l’étranger, reçus à l'hôtel des Invalides à Paris entre 1673 et 1796.
(principalement Allemands, Anglais, Belges, Ecossais, Irlandais, Italiens, Suisses)"

Hôtel des Invalides

info communiquée par Lydie Buchère

Réouverture de la bibliothèque Europeana

En travaux pendant trois semaines après avoir été submergée de clics à son lancement, la bibliothèque européenne en ligne Europeana a rouvert ses portes mardi, même si sa consultation reste limitée aux heures de pointe.

"Europeana fonctionne à nouveau", et la capacité des serveurs du site www.europeana.eu ont été "quadruplés", a annoncé mardi un porte-parole de la Commission européenne, Martin Selmayr.

Il a cependant reconnu que le système informatique était toujours en phase de test afin de permettre d'"ajouter de la capacité" en cas d'afflux soudain de demandes.

Du coup, selon un message d'avertissement qui figurait mardi sur la page d'accueil du site, "le nombre d'utilisateurs reste limité aux heures de pointe" et "l'utilisation peut ne pas être optimale".

La Commission espère que cette phase de test sera terminée en février, ce qui permettrait "d'ajouter du contenu culturel à Europeana pour la rendre encore plus intéressante".

Europeana avait dû fermer le 20 novembre, ses serveurs n'étant pas assez puissants pour répondre à l'assaut de visiteurs, quelques 10 millions de clics par heure avaient alors été enregistrés sur le site.

Source :

§   Yahoo : Article de presse

 

Archives de l'Assemblée Nationale en ligne

L’Assemblée nationale qui célèbre ce mois-ci le 50ème anniversaire de la première séance de la première législature de la Vème république, qui s’est ouverte le 9 décembre 1958, vient d'ouvrir ses archives.

Pour cette occasion, l'Assemblée a créé un site pour mettre en ligne l'ensemble des travaux de cette noble institution républicaine, chaque personne via Internet, pourra accéder à l'ensemble de ses travaux.

Le site offre pour toutes les cessions de législatures :

•   Les comptes rendus des débats

•   Les questions

•   Les index des dossiers (période plus récente)

Soit l’équivalent d’environ 350.000 pages au format papier. Des rubriques complémentaires offrent aussi l’accès à de nombreux documents éclairant l’histoire de l’Assemblée nationale depuis la Révolution française, comme "Les grands moments d’éloquence parlementaire", sélection de discours de personnages célèbres (Danton, Victor Hugo, Jean Jaurès, etc.) ou "Les procès-verbaux historiques".

Pour en savoir plus :

AN : Site de consultation des archives de l'Assemblée Nationale

Geneaservice : décès région parisienne 1873-1882

Geneaservice annonce:  

La mise en ligne de la série 16 sur son  site 
(Les tarifs sont sur Geneaservice)

"Nous avons le plaisir de vous annoncer la mise en ligne de la série
16 sur notre site.

Cette série répertorie tous les décès déclarés en région Parisienne
entre 1873 et 1882.

Cette série complète la série 49 qui, pour la même période, recense
les décès déclarés à Paris.

En indiquant la date et le lieu du décès de la personne recherchée,
ce fichier vous permettra de remonter à l'acte de décès.
L'acte de décès reprend, en principe, l'ensemble de la filiation du
défunt.

Vous souhaitant de très fructueuses recherches "
L'équipe de GeneaService
http://www.GeneaService.com 

Ancestry, pas de deux avec BIGEnet

Nous évoquions il y a quelques jours sur Geneablog l'échec d'un partenariat entre GeneaNet et BIGEnet. Des cercles adhérents de la Fédération française de généalogie estimaient ce rapprochement avec une société commerciale (en partie) inadéquat.

Comme nous le disions en conclusion « On verra également si le front du refus restera monolithique. »

En fait, l'attente aura été de courte durée... se détournant de la société française GeneaNet au cours d'une réunion mi-novembre à la Fédération, quatre cercles généalogiques fédérés ont déjà opté pour une indexation chez Ancestry renvoyant vers BIGEnet.

Ancestry.com est l'une des plus grosses sociétés américaines généalogiques (Maison mère : La société « The Generations Network Inc » est incorporée dans l’État du Delaware aux États-Unis). On ne peut pas dire que l'accès aux ressources y soit gratuit ! Depuis l'an dernier elle a pris pied en France sous la forme d'une Sarl : Ancestry.fr (« The Generations Network » Sarl est une société française incorporée située au centre de Paris.)

Pour l'instant il semblerait que les quatre cercles vont en « éclaireurs » (?) tester les possibilités avec cette société.

C'est tout de même étonnant, ce processus anti-commercial de Bigenet qui aboutit à ce choix paradoxal !

La Fédération & GeneaNet pas d'accord

Nous avions évoqué en septembre l'éventuelle indexation de la base BIGEnet sur GeneaNet, puis signalé en octobre que ce rapprochement n'était plus à l'ordre du jour. En effet certaines associations dont les relevés sont disponibles contre paiement sur BIGEnet ne souhaitaient pas rejoindre un site commercial.

D'autres associations ont fait depuis longtemps un choix inverse, leurs dépouillements étant vendus au début par SWIC et maintenant par "Notre famille" (société anonyme cotée en bourse)

Précisons pour ce qui est de GeneaNet, que cette société est en fait mixte, elle offre de nombreux services gratuits, en parallèle à sa partie commerciale. Ce site majeur avait l'avantage d'offrir une large visibilité internationale sur le web.

La Fédération Française de Généalogie a confirmé ce 20 novembre dans un communiqué que les choses resteraient en l'état, c'est-à-dire en partenariat avec Triatel.

Sur la planète « Généalogie » en profonde mutation tant pour ce qui concerne les nouveaux généalogistes, que les médias, l'accès aux ressources, les différents acteurs et sociétés qui se manifestent, sans oublier la mise en ligne gratuite des registres numérisés par un nombre croissant d'Archives Départementales, l'avenir nous dira si ce choix aura été positif. On verra également si le front du refus restera monolithique.

Pour en savoir plus :

§   Généablog : Notre article de septembre, assorti de nombreux commentaires

§   Généablog : Notre note du mois d'octobre

§   GénéInfos : Infos complémentaires sur le blog de la Revue Française Généalogie sous la plume de son rédacteur en chef Ch. Hervis

AD04 - Alpes-de-Haute-Provence en ligne

Les Archives Départementales des Alpes-de-Haute-Provence (04) sont en ligne en date et heure données par le Conseil général (notre note du 12/10), vous pouvez y consulter :

•  registres paroissiaux

•  tables décennales

•  état civil

•  cadastre napoléonien

•  cartes postales anciennes

Il y a à ce jour 39 départements en ligne, auxquels il faut ajouter la Haute-Loire (43) et la Meuse (55), dont des associations offrent une mise en ligne d'actes, à défaut d'autre chose.

Pour en savoir plus :

§   CG04 : Site des archives départementales

§   Geneafrance : La carte des archives en ligne