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Douanes: Archives et recherches généalogiques

De nombreux généalogistes au cours de leurs recherches se découvrent des ancêtres "gabelous". Ils pourront trouver de l'aide en consultant le Musée des douanes et le CAEF, voir leurs infos:
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"Le musée regroupe un certain nombre de registres du personnel (ou sommiers)  et quelques dossiers individuels . Ces archives sont toutefois parcellaires et ne constituent pas de séries complètes. Elles concernent particulièrement les directions régionales des douanes de Bayonne, Bordeaux, Boulogne, Charleville, Dunkerque, Lille, Nantes, Paris et Valenciennes.
Un fichier patronymique est établi à partir de ce fonds encore aujourd'hui en cours de dépouillement et permet de répondre aux demandes de recherches généalogiques. Après avoir effectué votre demande à l'aide du formulaire ou par mail, vous recevrez une réponse dans un délai d'un mois environ.
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Pour faire votre demande de recherche, remplir le formulaire en ligne
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Pour poursuivre vos recherches, vous avez la possibilité de vous adresser au Centre des Archives Economiques et Financières (CAEF) du MINEFE.
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Le Centre des archives économiques et financières dispose pour les recherches à caractère biographique et généalogique d'un fonds relatif au personnel des différentes directions du ministère, qui concerne pour l'essentiel des agents en poste au 19e (dont certains sont nés au 18e siècle) et au 20e siècle."
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Video: visite du Musée de la douane
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information signalée par Lydie Buchère

200 ans de noblesse d'Empire

Par le décret du 1er mars 1808, Napoléon Ier instaure la noblesse d'empire, cette démarche voulait recréer une élite stable après l'abolition des privilèges de la révolution, comme il l'avait fait par l'instauration de la Légion d'Honneur en remplacement des autres ordres honorifiques déchus.

Les prémisses de cette nouvelle noblesse, existaient déjà dès 1804 par les titres princiers dans la famille impériale, il s'en est suivi en 1806 la création des titres de ducs.

Mais c'est vraiment en 1808, et par ce décret, que ce nouveau système a existé, faisant l'amalgame entre l'ancienne noblesse et la bourgeoisie révolutionnaire. Les titres étaient décernés selon la proximité avec la famille impériale, la valeur militaire, ou la carrière administrative civile ou religieuse.

Les titres de Prince et de Duc étaient principalement réservés aux maréchaux d'Empire. Cette noblesse n'était pas un ordre avec privilèges, sauf pour ceux qui avaient la possibilité de construire un Majorat, fondé sur la propriété de biens fonciers, de rentes immobilisées, inaliénables, produisant un revenu permettant d'honorer à long terme son titre de noblesse, dans ce cas, le titre était transmissible à sa descendance.

A noter que Napoléon Ier utilisait le terme « Gens titrés » au lieu de nobles, pour se distinguer de l'ancien régime...

Il y a eu environ 3.300 titres qui ont été décernés, récompensant les exploits militaires et services civils, selon un ordre hiérarchique :

§   34 Princes et Ducs

§   417 Comtes

§   1.550 Barons

§   1.317 Chevaliers

Après la proclamation du décret de 1808, il fut créé le conseil des sceaux et des titres, chargé d'établir les armoiries de cette nouvelle noblesse.

Liens :

§   L'Express : Article de presse

§   Wikipedia : Noblesse d'Empire

§   Geneablog : Armorial du Premier Empire

Généalogie et Histoire du Haut-Jura

L'association Généalogie et Histoire du Haut-Jura communique:
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Les membres de  G2HJ se propose de mettre en commun les dépouillements réalisés par les généalogistes bénévoles, de toutes les communes du Haut Jura, au sein d’une base de données unique.
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Cette base de données est accessible à tous, elle donne les détails des filiations lorsqu’elles ont été saisies.
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Cette base de données, alimentée par des bénévoles, a pour but de vous aider dans vos recherches en vous permettant de repérer des actes.
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Le dépouillement des actes, n'est pas complet et reprend les actes aussi précisément que possible. Certaines périodes doivent être complétées.
Le dépouillement systématique des BMS est en cours et est publié au gré de l'avancement de l'encodage.

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Pour en savoir plus :
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Généalogie et Histoire du Haut-Jura
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information donnée par Lydie Buchère

Tambov : Hommage aux « Malgré-Nous »

Mardi dernier, une délégation alsacienne s'est rendue au camp de Tambov en Russie, pour honorer la mémoire des Alsaciens-Mosellans, engagés contre leur gré dans l'armée allemande, disparus dans ce camp.

Moment de souvenirs, ce déplacement était aussi l'occasion de remercier les autorités russes qui ont mis à disposition de l'Alsace une grande partie de Archives de Tambov. Projet, commun au Conseil Généraux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin et à la Région, et qui vise à recenser les victimes alsaciennes du conflit en mettant en place une base de donnée nominative.

Philippe Richert, vice-président du Sénat et président du conseil général du Bas-Rhin a lu mardi, à Tambov-Rada, devant le monument à la mémoire des incorporés de force internés dans le camp 188, un message solennel du président de la République, Nicolas Sarkozy :

«Ces fils de France sont morts parce qu'ils portaient un uniforme qu'ils n'avaient pas choisi, incorporés contre leurs gré dans une armée qui n'était pas la leur. Victimes de l'histoire, ils font pleinement partie de la communauté nationale et c'est à ce titre que je m'incline aujourd'hui en leur mémoire».

Les ateliers du Livres, par la BNF

La Bibliothèque Nationale de France présente le programme de la prochaine journée du cycle "Les ateliers du Livre" du 11 mars 2008.

Les ateliers du livre proposent, sous forme de journées d'études, un rendez-vous régulier sur l'histoire du livre et son univers contemporain.
Cette journée aura pour thème: Les mutations de la Presse aux 20 et 21° siècles.

Au cours de la journée, il sera question de la Presse pendant la III° République, de la naissance des magazines en 1960, de la constitution des grands groupes de Presse en 1970,  des agences de Presse, de la presse quotidienne gratuite.

Pour en savoir plus: lien vers  le Programme de la journée

Généalogie, mémoire du coeur avec Tomi Ungerer

Il y a quelques semaines nous avions fait une note au moment de l'ouverture du musée Ungerer à Strasbourg.
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Aujourd'hui il s'agit d'un livre rédigé par Tomi Ungerer qui se retournant vers son passé, a voulu retrouver ce père disparu lorsqu'il n'avait que quatre ans.
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Selon la formule de nos cousins du Québec, je pourrais dire que je suis tombée en amour en ouvrant cet ouvrage.
Je l'ai commencé à 23 heures et je l'ai pas quitté avant de l'avoir fini vers 3 heures du matin.
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Dès les premières pages on lit "Une curiosité familiale. Dans la généalogie Ungerer, on ne trouve aucun rebelle. Petit monstre parachuté à l'improviste sept ans après la naissance de mon frère dans un milieu bourgeois bien organisé, j'étais réfractaire....Suis-je une greffe sur mon arbre généalogique? Je l'ignore. Je suis né rebelle...
Mon père s'était passionné pour la généalogie de la famille..."
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Au début du chapitre 2, Tomi U. retrace la ligne principale celle des Ungerer protestants qui mène au XVIè siècle à Oehringen, petite ville de Souabe près de Heilbronn en Allemagne.
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L'auteur au fil des pages va utiliser toute la palette des mots pour faire revivre sa famille. Une famille remarquable et connue.